NdA - Della sua onestà intellettuale e di giudice, basta leggere questo articolo, apparso su LIBERATION, in occasione del processo Hobbs-Melville ; oppure quelli sul FIGARO.
Alcuni stralci :
sur cette justice monégasque qu'il a quittée «dans des conditions exécrables». Premier scoop : «Très fréquemment, le procureur général venait me dire quelle peine serait attribuée à quelqu'un.» Selon le juge Hullin, avant certains procès, le procureur (à l'époque, Daniel Serdet) connaissait la décision.
le juge Hullin affirmait : «Le procès [auquel il n'a pas assisté] a été une vraie pantalonnade.» Selon lui, à Monaco, la justice «est parfois tout sauf professionnelle» : «Dès que le palais participe de près ou de loin à l'événement, certains se rangent et l'esprit critique disparaît.»
Arroseur arrosé, le juge, qui avait été cité comme témoin à la demande de Jean-Christophe Moroni, doit aussi justifier un de ses actes. En octobre 2004, alors qu'il n'était plus saisi du dossier clos, il a ordonné le déblocage d'un compte au Liechtenstein, sur lequel Moroni détenait 400 000 dollars. Ce dernier a ainsi pu les récupérer. Quelle compétence le juge avait-il pour le faire ? «Aucune, reconnaît-il. C'était hors procédure.» Et un peu gênant.
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